Et parlant de réputation, on met notre cape pour protéger celle de notre marque. Parce qu'un produit de mauvaise qualité, c'est comme un super-vilain qui essaie de saboter notre succès. Pas cool du tout !Mais le Contrôle de la Qualité, ce n'est pas seulement sauver le monde. C'est aussi rendre nos processus plus efficaces et économiques. On cherche les failles dans notre production comme des détectives et on les corrige plus vite que le Flash !Maintenant, pour les méthodes, c'est là que ça devient intéressant. Dans l'industrie agroalimentaire, on commence par une inspection visuelle. Imagine, c'est comme si nos produits faisaient un défilé de mode et on les examine sous toutes les coutures pour repérer le moindre défaut. Ensuite, place aux tests sensoriels ! Des dégustateurs pros se chargent de vérifier que tout a bon goût, bonne odeur, et une texture qui fait craquer. Les tests plus poussés viendront après, comme la microbiologie et la recherche chimique et instrumentale des autres composants jugés importants.Mais dans l'industrie pharmaceutique, c'est un peu différent. On joue aux détectives avec des tests d'identification pour être sûr que nos médicaments ont bien tous leurs ingrédients secrets, et surtout, le fameux « principe actif ». Et puis, il y a les tests de dissolution, comme une version high-tech d'un bon vieux tour de magie, pour voir comment nos médicaments se dissolvent dans l'organisme, ainsi les autres tests qui se suivent l’un après l’autre, jusqu’à la satisfaction totale.